Rentrer sur le sol néo-zélandais se fait par Auckland, la plus grande ville du pays. Nous n’échappons pas à la règle, et, après 2h de TGV suivis de 6h de Paris-Dubaï puis 15h de Dubaï-Auckland, nous débarquons à l’heure dite, à savoir 11h ! (même que les avions n’ont pas subi trop de turbulences, ce qui a permis à quelqu’un ici présent de ne pas être traumatisé à vie)
Petit stress à la douane : notre chocolat, nos biscuits et notre stock d’un an de médicaments vont-ils passer sans encombre la «biosécurité » ? Au vu du montant de l’amende encouru pour fausse déclaration, nous choisissons l’honnêteté et déclarons tout : la bonne idée, puisque nous passons sans encombre.
Bref, on débarque au centre ville à la recherche d’un bureau de change, histoire de se faire entuber sur les taux d’avoir nos premiers sous pour ce premier jour. (résultat : un retrait par carte aurait sûrement été plus avantageux que les taux aléatoires pratiqué par les bureaux de change). Puis, direction « Ponsonby Backpackers ». Alors oui, petite précision : c’est à ce moment-là qu’on se rend compte qu’Auckland n’est PAS une ville plate, et contrairement à ce qu’on peut imaginer sur un plan, les distances à pied sont un peu plus longues à parcourir… (surtout avec une valise sur une côte montante).
Préférant ne pas nous attarder dans la chambre pour éviter de s’endormir (mauvaise idé !), nous décollons vers le Mont Eden, LE point de vue sur Auckland après la SkyTower. Nous en profitons pour découvrir le réseau de bus d’Auckland, ou en tout cas pour essayer de le découvrir, car il y avait probablement possibilité de faire ces quelques kilomètres en moins d’une heure (qu’il faut avec le « Outer Link », un beau bus tout orange et qui s’amuse à faire le tour de la ville en s’arrêtant partout)…
En tout cas, le Mont Eden, c’est plutôt joli : un ancien volcan avec un cratère tout vert d’herbe, qui, effectivement, donne un point de vue plutôt plaisant pour les yeux sur la ville et sa baie.
Au retour, pour éviter la joie du bus orange (et pour pouvoir se payer de quoi manger, vivre, tout ça plus de 2 jours) nous marchons jusqu’au… « Inner Link », un joli bus vert qui fait aussi un tour de ville mais d’une manière plus… interne. Enfin bref, le temps de trouver l’arrêt du bus, ça aurait été pareil avec le orange, mais, fierté oblige, on ne l’avouera pas ici.
Achat de pâtes, dodo à 20h : voilà la fin de cette première journée de contact !
MOUT.
J’espère que vous verrez bien ce mot.Grace au petit frère j’ai réussi à me connecter;enfin peut etre.
Au fait,il y a une 107 à laver à la Fontenotte….
Gros bisous.
Michel
DIG….DING …. DONG….Il est minuit tout là-bas….
Une très heureuse année à vous deux,que tout puisse vous réussir…..
Je vous ai vu avec plaisir,toujours aussi rayonnant sur la plage,avec deux bonhomme de neige en sable;mais qui était donc ce petit troisième bonhomme????
Quel plaisir aussi de vous voir le soir de Noel…et vous voyez bien que le Père Noel existe;il a vidé le verre de goutte que j’avais laissé sur la table…GGGGros bisous.
Michel